Il
faisait nuit, le soleil venait de se coucher, un vent délicat nous
embrassait et atténuait l'ambiante pression. Chaque soir c'est la
même histoire : un futur pendu est apporté au hasard
Un cercueil sous une potence, au centre du village. Ce n'est pas la frustration ou l'excitation malsaine de la foule à l'idée d'une exécution que je décrirais, mais la bagarre d'une dizaine de femmes.
Elles étaient étrangement moches, célibataires -le foulard rouge en signe distinctif-, en haillons ou en vêtement chic
Elles criaient, meuglaient, suffoquaient des choses presque imperceptibles « GnnhIiiII IHAaaaa CHIASSSees de pUTtees BORgnee » ou encore « moiiiiiiiiiii POUR MOIrrrrrrrhhhhhhh»
Un jeune homme en queue de pis tentait de les calmer en criant d'une forte « HUMAIN APPAREMMENT DE SEXE FÉMININ, CALMEZ VOUS ! SEUL TROIS RÉCEPTACLES SERONT CHOISIS! »
Évidement, cela ne faisait qu'envenimer la situation. Elles enrageaient. Des furies, les joues rouges, les cheveux en batailles, leur yeux vitreux tressautaient dans leur orbites, leur nez fumait et leur salive se transformait en bave, postillon, morve ?
Un second homme en queue de pis arriva avec un gros Pendule cubique (1) et, après dix minutes d'oscillations, sélectionna les trois femmes. Une sorte de mugissement guttural émergea du fond de leur entrailles et infecta toutes paires d'oreilles présente. Les autres, encore agglutinées, glissaient à cause de l'humidité de leur larmes mêlées et patinaient sous leur sueurs corporelles.
Ce spectacle morbide avait lieu vingt minutes avant les exécutions. Les parents faisaient attention à ce que leur enfants n'arrivent qu'après.
Les trois réceptacles suivirent l'homme en costume et se déshabillaient avec hâte. Elles prirent place la lune tournée vers la lune, jambes écartées respectivement à un mètre, un mètre dix et un mètre 20 de la potence.
Le bourreau retira le tabouret qui permettait à l'homme de vivre et une éjaculation puissante atterri dans l'un des trois vagins
Un cercueil sous une potence, au centre du village. Ce n'est pas la frustration ou l'excitation malsaine de la foule à l'idée d'une exécution que je décrirais, mais la bagarre d'une dizaine de femmes.
Elles étaient étrangement moches, célibataires -le foulard rouge en signe distinctif-, en haillons ou en vêtement chic
Elles criaient, meuglaient, suffoquaient des choses presque imperceptibles « GnnhIiiII IHAaaaa CHIASSSees de pUTtees BORgnee » ou encore « moiiiiiiiiiii POUR MOIrrrrrrrhhhhhhh»
Un jeune homme en queue de pis tentait de les calmer en criant d'une forte « HUMAIN APPAREMMENT DE SEXE FÉMININ, CALMEZ VOUS ! SEUL TROIS RÉCEPTACLES SERONT CHOISIS! »
Évidement, cela ne faisait qu'envenimer la situation. Elles enrageaient. Des furies, les joues rouges, les cheveux en batailles, leur yeux vitreux tressautaient dans leur orbites, leur nez fumait et leur salive se transformait en bave, postillon, morve ?
Un second homme en queue de pis arriva avec un gros Pendule cubique (1) et, après dix minutes d'oscillations, sélectionna les trois femmes. Une sorte de mugissement guttural émergea du fond de leur entrailles et infecta toutes paires d'oreilles présente. Les autres, encore agglutinées, glissaient à cause de l'humidité de leur larmes mêlées et patinaient sous leur sueurs corporelles.
Ce spectacle morbide avait lieu vingt minutes avant les exécutions. Les parents faisaient attention à ce que leur enfants n'arrivent qu'après.
Les trois réceptacles suivirent l'homme en costume et se déshabillaient avec hâte. Elles prirent place la lune tournée vers la lune, jambes écartées respectivement à un mètre, un mètre dix et un mètre 20 de la potence.
Le bourreau retira le tabouret qui permettait à l'homme de vivre et une éjaculation puissante atterri dans l'un des trois vagins
(1)Pendule
vient donc de pendue et d'ovule
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